Oui parce que c’est pas toujours facile de garder son calme, de rester positif et de ne pas se laisser envahir par la fatigue, le stress ou le ras le bol ou le doute. Surtout en cette période de fin d’hiver, qui pour moi est la plus fatigante de l’année avec une grande charge mentale. Comment prendre de bonnes décisions si vous avez le cerveau en vrac ?
J’ai trouvé cette méthode, que je trouve carrément efficace, alors si vous êtes comme moi vous en avez surement besoin, je vous la transmets !
1. Changez de point de vue
La première étape est de changer de perception. Ça peut paraître bête mais simplement le fait de se dire : « que ferait « untel » dans cette situation ? » vous aide à relativiser.
En ce qui me concerne, il y a deux scénarios. Parfois j’imagine un proche et je me dis qu’il réagirait beaucoup moins bien que moi ! Du coup ça me fait du bien de me dire que ce que je fais ce n’est déjà pas si mal ! Et cela évite de se laisser déborder et d’en arriver là où on ne veut pas aller. Et le 2e scénario, j’imagine une amie qui a toujours des paroles réconfortantes et cela m’apaise rien qu’à l’idée de la visualiser.
Donc, changer de point de vue permet déjà de redescendre en pression et en émotion.
2. Respirez
Oui je sais que c’est facile à dire mais mine de rien, ça marche ! Prenez 5 bonnes respirations (allez, vous pouvez aller jusque 10). C’est prouvé maintenant que la respiration profonde régule le système nerveux pour stimuler un état de relaxation. Le cœur se calme, l’esprit aussi. Les muscles cessent également d’être tendus.
Cela vous permet de reprendre vos esprits et de vous permettre de reprendre le contrôle sur votre état intérieur.
3. Dites-vous que c’est tout à fait normal
Non vous n’êtes pas seul.e à être dans cet état. Chacun gère à sa manière et cela dépend du niveau d’énergie à chaque instant ! Ne vous en veuillez pas d’être dans cet état. De toutes façons ça ne changera rien. Acceptez ce qui est en train de se passer et profitez-en pour vous demander qu’est ce qui fait que vous réagissez comme ça ? A quoi c’est dû d’après vous ?
Profitez-en pour en discuter avec un.e proche qui se fera un plaisir de vous faire un effet miroir et de vous renvoyer les bonnes questions (il ou elle est sûrement déjà passé par là, aussi).
4. Commencez par un petit pas
Faites le point : sur quoi pouvez-vous agir ? A qui pouvez-vous faire appel ? Quelle action pouvez-vous faire là maintenant tout de suite ? Ne cherchez pas à abattre le monstre d’un seul coup. Commencez petit bout par petit bout.
Découper la bête et vous n’en ferez qu’une bouchée !
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